samedi 3 novembre 2012

De Cambronne à Longuet

Portés par la forfaiture récente du président Français, les dirigeants Algériens en veulent toujours plus et exigent la repentance.

La réponse de Longuet a le mérite d'être claire et spontanée. Il n'est pas homme à se défiler, et à défaut de mettre le genou a terre comme le pitoyable socialiste élu s'en rappelle t-il pour représenter les Français, lui plie le coude et enjoint d'un geste alerte les membres du FLN d'aller se faire voir ailleurs.


Les patriotes ont la rage de leur conviction, et toute demande de reddition entraîne toujours la même réaction, de Cambronne à Longuet.

Notons que son adversaire du jour est le FLN Mohamed-Chérif Abbas qui exigeait "une reconnaissance franche des crimes perpétrés à leur encontre par le colonialisme français".
Precisement ce monsieur est ministre des Moudjahidines (combattants du Djihad) autrement dit le ministre des anciens combattants car l'engagement du FLN dans la guerre d'indépendance l'a été au nom de l'islam et de la guerre sainte, le Djihad.

Un bras d'honneur salutaire donc, envers l'extrémisme religieux et le révisionnisme, le FLN est vraiment très mal placé pour venir parler de crime, si ce n'est ses propres exactions.